• Le service militaire

    1968 j étais top forme 1er au parcours du combattant et décoré tireur d élite je dois avoir la médaille quelque part à 200 mètres je mettais 10 balles dans la tête d'une cible c était au 16 ème régiment de dragons à noyon vous remarquerez les rangers super brillantes on avait intérêt à être nickel partout et fallait repasser ses chemises avec trois lignes en haut et un v en dessous sinon pas de permission cela apprend à vivre et c est pour cela que je pense qu'il faudrait rétablir le service militaire qu en pensez vous ?

    Le service militaire

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  • Commentaires

    1
    Lundi 29 Novembre 2021 à 18:38

    Moi    j'  aurais   pu    être tireur    d'  élite    aussi,    mais   en   section   de  combat,   et   ça    ça   ne   m'intéressait   pas !

     Je  voulais   être radio,    et    j' ai   été  radio !

     Bonne  soirée Marcel

     Amitié

    2
    Mardi 30 Novembre 2021 à 15:05

    Salut,

    Je connais je suis entré en 68 aussi.

    Le temps est déplorable mais on est presque en hiver.

    On me pique le 10 décembre , j'espère ne pas y rester.

    Bonne journée

    3
    Mercredi 1er Décembre 2021 à 10:43

    Hello Marcel,

    Et oui, moi aussi, il fut un temps où je "tournais" le parcours du combattant en moins de 4 minutes et où je faisais le parcours du risque sans trop de difficultés, mais ça c'était avant...

    En effet, il fallait une tenue brillante avec les rangers qui luisaient et la chemise avec les plis réglementaires dans le dos. Souvenirs, souvenirs... sinon, en effet, pas de permission, pas de quartier libre... Je me souviens d'un gars un peu enrobé qui n'est rentré chez lu en permission qu'après les classes, car il n'arrivait pas à sortir de la fosse, au parcours du combattant.

    Même punition pour ceux qui ne pouvaient pas monter la corde à la seule force des bras.

    Comme j'étais jeune, fort et beau (c'est dire si c'est il y a fort longtemps), je suis rentré régulièrement en permission, mais j'avais quand même une dizaine d'heures de train, car on était mutés loin de chez nous, pour nous faire voir du pays...

    A cette époque là, on avait aussi nos rations, avec les cigarettes de troupe et une fiole de tord-boyau tous les 15 jours (impensable aujourd'hui)...

    Amitiés.

    Gilles

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